Cette page regroupe plusieurs article biblique (ils sont du +récent au + ancien)
Que dois-je faire pour obtenir la vie éternelle?
L'homme naturel pense devoir faire quelque chose pour obtenir son salut. Le jeune homme, de notre histoire était travaillé par la question de son avenir éternel. Il savait que toute la finalité de la vie sur terre n'est pas matérielle. Car des biens, il en avaient en abondance…mais il lui manquait quelque chose qui ne peut ni se vendre, ni s'acheter. Alors, venant à la rencontre de Jésus, il lui fit part de son inquiétude.
Le Seigneur lui répondit: si tu veux entrer dans la vie éternelle, garde les commandements, c'est-à-dire conformes -toi à la volonté divine, selon qu'elle a été exprimée dans les Écritures. Il n'avait pas de recette miracle à lui proposer, ni de liste d'œuvres à accomplir…Non! Il le ramena à la Loi, et plus précisément la deuxième table du Décalogue, qui traite des devoirs envers le prochain. Car, " En effet, les commandements: Tu ne commettras point adultère; tu ne tueras point; tu ne déroberas point; tu ne diras point de faux témoignage; tu ne convoiteras point; et tout autre commandement, tout cela se résume dans cette parole: Tu aimeras ton prochain comme toi-même" (Romains 13,9).
Serait-ce tout? pense le jeune homme, je l'ai déjà fait…n'y a-t-il rien à faire de plus?
Jésus ne répondit pas directement à cette prétention, mais il allait lui démontrer qu'il ne mettait pas en pratique le second commandement de la première table ( les devoirs envers Dieu ).
Alors une phrase fusa de la bouche de Jésus: va, vends tous tes biens et donnes-le aux pauvres! Sépares-toi de ce dont ton existence est encombrée et qui occupe la place même de Dieu; là où est ton trésor, là aussi sera ton cœur (Cf. Luc 12,33).
La possession des biens matériel donne l'illusion d'avoir du pouvoir sur les choses et les gens. L'aisance matérielle procure un confort auquel il est difficile de renoncer. Elle ferme le cœur au partage avec les plus pauvres (Après tout, ils n'ont qu'à travailler!...). Or jésus nous a montré de quelle manière un Samaritain avait mis en pratique le commandement d'amour du prochain. Il avait eu de la compassion, pris de son temps, de son argent et cela pour un inconnu. Mais devenir pauvre, ou du moins comme les autres, est le cauchemar du riche!
L'interlocuteur de jésus fut dépité, chez lui l'amour des richesses avait pris le pas sur l'amour pour Dieu. La porte du ciel est étroite, on ne peut y accéder que difficilement avec le cœur préoccupé des choses vaines du monde...L'aisance matérielle serait-elle un empêchement à suivre Dieu? Pas dans la mesure où nous pouvons y renoncer!
L'image du chameau est parlante. En effet, l'animal devait être débâté pour passer la porte de la ville….et il ne s'en plaignait pas, après son long périple en terres arides, il était tout disposé à se laisser débarrasser de son fardeau! Tandis que le riche, lui, persiste à s'y accrocher, le renoncement ne fait pas partie de ses valeurs. N'avons-nous pas des fois cette mauvaise propension à nous cramponner à des choses qui nous empêchent de jouir des bienfaits que Dieu veut nous accorder?
Devant l'Étonnement des disciples, le Maître leur fait comprendre que le salut est l'œuvre souveraine de Dieu, ce n'est pas une simple décision humaine qui peut faire que l'on soit sauvé! Or cette vérité, qui met de côté la participation de l'homme, est bien difficile à accepter pour ceux qui pensent faire des œuvres méritoires. Même les disciples ont eu du mal à comprendre certaines affirmations de Jésus: Mais nous qui avons tout quitté, qu'adviendra t-il de nous? Dieu ne laissera pas sur la touche celui qui s'est réellement repenti de son péché et s'est détourné des œuvres du diable pour Le servir Lui, le Tout-Puissant; La récompense sera immense pour ceux qui ont renoncé aux choses du monde pour se consacrer au Seigneur. Mais pour ceux qui auront préféré se servir eux-mêmes, la chute sera sévère. Car, en effet, Les priorités mondaines sont bannies du royaume des cieux. Toutes choses passeront un jour, mais sa Parole demeurera à toujours.Que dois-je faire pour obtenir la vie éternelle?
L'homme naturel pense devoir faire quelque chose pour obtenir son salut. Le jeune homme, de notre histoire était travaillé par la question de son avenir éternel. Il savait que toute la finalité de la vie sur terre n'est pas matérielle. Car des biens, il en avaient en abondance…mais il lui manquait quelque chose qui ne peut ni se vendre, ni s'acheter. Alors, venant à la rencontre de Jésus, il lui fit part de son inquiétude.
Le Seigneur lui répondit: si tu veux entrer dans la vie éternelle, garde les commandements, c'est-à-dire conformes -toi à la volonté divine, selon qu'elle a été exprimée dans les Écritures. Il n'avait pas de recette miracle à lui proposer, ni de liste d'œuvres à accomplir…Non! Il le ramena à la Loi, et plus précisément la deuxième table du Décalogue, qui traite des devoirs envers le prochain. Car, " En effet, les commandements: Tu ne commettras point adultère; tu ne tueras point; tu ne déroberas point; tu ne diras point de faux témoignage; tu ne convoiteras point; et tout autre commandement, tout cela se résume dans cette parole: Tu aimeras ton prochain comme toi-même" (Romains 13,9).
Serait-ce tout? pense le jeune homme, je l'ai déjà fait…n'y a-t-il rien à faire de plus?
Jésus ne répondit pas directement à cette prétention, mais il allait lui démontrer qu'il ne mettait pas en pratique le second commandement de la première table ( les devoirs envers Dieu ).
Alors une phrase fusa de la bouche de Jésus: va, vends tous tes biens et donnes-le aux pauvres! Sépares-toi de ce dont ton existence est encombrée et qui occupe la place même de Dieu; là où est ton trésor, là aussi sera ton cœur (Cf. Luc 12,33).
La possession des biens matériel donne l'illusion d'avoir du pouvoir sur les choses et les gens. L'aisance matérielle procure un confort auquel il est difficile de renoncer. Elle ferme le cœur au partage avec les plus pauvres (Après tout, ils n'ont qu'à travailler!...). Or jésus nous a montré de quelle manière un Samaritain avait mis en pratique le commandement d'amour du prochain. Il avait eu de la compassion, pris de son temps, de son argent et cela pour un inconnu. Mais devenir pauvre, ou du moins comme les autres, est le cauchemar du riche!
L'interlocuteur de jésus fut dépité, chez lui l'amour des richesses avait pris le pas sur l'amour pour Dieu. La porte du ciel est étroite, on ne peut y accéder que difficilement avec le cœur préoccupé des choses vaines du monde...L'aisance matérielle serait-elle un empêchement à suivre Dieu? Pas dans la mesure où nous pouvons y renoncer!
L'image du chameau est parlante. En effet, l'animal devait être débâté pour passer la porte de la ville….et il ne s'en plaignait pas, après son long périple en terres arides, il était tout disposé à se laisser débarrasser de son fardeau! Tandis que le riche, lui, persiste à s'y accrocher, le renoncement ne fait pas partie de ses valeurs. N'avons-nous pas des fois cette mauvaise propension à nous cramponner à des choses qui nous empêchent de jouir des bienfaits que Dieu veut nous accorder?
Devant l'Étonnement des disciples, le Maître leur fait comprendre que le salut est l'œuvre souveraine de Dieu, ce n'est pas une simple décision humaine qui peut faire que l'on soit sauvé! Or cette vérité, qui met de côté la participation de l'homme, est bien difficile à accepter pour ceux qui pensent faire des œuvres méritoires. Même les disciples ont eu du mal à comprendre certaines affirmations de Jésus: Mais nous qui avons tout quitté, qu'adviendra t-il de nous? Dieu ne laissera pas sur la touche celui qui s'est réellement repenti de son péché et s'est détourné des œuvres du diable pour Le servir Lui, le Tout-Puissant; La récompense sera immense pour ceux qui ont renoncé aux choses du monde pour se consacrer au Seigneur. Mais pour ceux qui auront préféré se servir eux-mêmes, la chute sera sévère. Car, en effet, Les priorités mondaines sont bannies du royaume des cieux. Toutes choses passeront un jour, mais sa Parole demeurera à toujours.Que dois-je faire pour obtenir la vie éternelle?
L'homme naturel pense devoir faire quelque chose pour obtenir son salut. Le jeune homme, de notre histoire était travaillé par la question de son avenir éternel. Il savait que toute la finalité de la vie sur terre n'est pas matérielle. Car des biens, il en avaient en abondance…mais il lui manquait quelque chose qui ne peut ni se vendre, ni s'acheter. Alors, venant à la rencontre de Jésus, il lui fit part de son inquiétude.
Le Seigneur lui répondit: si tu veux entrer dans la vie éternelle, garde les commandements, c'est-à-dire conformes -toi à la volonté divine, selon qu'elle a été exprimée dans les Écritures. Il n'avait pas de recette miracle à lui proposer, ni de liste d'œuvres à accomplir…Non! Il le ramena à la Loi, et plus précisément la deuxième table du Décalogue, qui traite des devoirs envers le prochain. Car, " En effet, les commandements: Tu ne commettras point adultère; tu ne tueras point; tu ne déroberas point; tu ne diras point de faux témoignage; tu ne convoiteras point; et tout autre commandement, tout cela se résume dans cette parole: Tu aimeras ton prochain comme toi-même" (Romains 13,9).
Serait-ce tout? pense le jeune homme, je l'ai déjà fait…n'y a-t-il rien à faire de plus?
Jésus ne répondit pas directement à cette prétention, mais il allait lui démontrer qu'il ne mettait pas en pratique le second commandement de la première table ( les devoirs envers Dieu ).
Alors une phrase fusa de la bouche de Jésus: va, vends tous tes biens et donnes-le aux pauvres! Sépares-toi de ce dont ton existence est encombrée et qui occupe la place même de Dieu; là où est ton trésor, là aussi sera ton cœur (Cf. Luc 12,33).
La possession des biens matériel donne l'illusion d'avoir du pouvoir sur les choses et les gens. L'aisance matérielle procure un confort auquel il est difficile de renoncer. Elle ferme le cœur au partage avec les plus pauvres (Après tout, ils n'ont qu'à travailler!...). Or jésus nous a montré de quelle manière un Samaritain avait mis en pratique le commandement d'amour du prochain. Il avait eu de la compassion, pris de son temps, de son argent et cela pour un inconnu. Mais devenir pauvre, ou du moins comme les autres, est le cauchemar du riche!
L'interlocuteur de jésus fut dépité, chez lui l'amour des richesses avait pris le pas sur l'amour pour Dieu. La porte du ciel est étroite, on ne peut y accéder que difficilement avec le cœur préoccupé des choses vaines du monde...L'aisance matérielle serait-elle un empêchement à suivre Dieu? Pas dans la mesure où nous pouvons y renoncer!
L'image du chameau est parlante. En effet, l'animal devait être débâté pour passer la porte de la ville….et il ne s'en plaignait pas, après son long périple en terres arides, il était tout disposé à se laisser débarrasser de son fardeau! Tandis que le riche, lui, persiste à s'y accrocher, le renoncement ne fait pas partie de ses valeurs. N'avons-nous pas des fois cette mauvaise propension à nous cramponner à des choses qui nous empêchent de jouir des bienfaits que Dieu veut nous accorder?
Devant l'Étonnement des disciples, le Maître leur fait comprendre que le salut est l'œuvre souveraine de Dieu, ce n'est pas une simple décision humaine qui peut faire que l'on soit sauvé! Or cette vérité, qui met de côté la participation de l'homme, est bien difficile à accepter pour ceux qui pensent faire des œuvres méritoires. Même les disciples ont eu du mal à comprendre certaines affirmations de Jésus: Mais nous qui avons tout quitté, qu'adviendra t-il de nous? Dieu ne laissera pas sur la touche celui qui s'est réellement repenti de son péché et s'est détourné des œuvres du diable pour Le servir Lui, le Tout-Puissant; La récompense sera immense pour ceux qui ont renoncé aux choses du monde pour se consacrer au Seigneur. Mais pour ceux qui auront préféré se servir eux-mêmes, la chute sera sévère. Car, en effet, Les priorités mondaines sont bannies du royaume des cieux. Toutes choses passeront un jour, mais sa Parole demeurera à toujours.
Le témoignage divin
« …c'est là le témoignage que Dieu a rendu de son Fils. |
Celui qui croit au Fils de Dieu, |
a le témoignage de Dieu en lui-même; |
celui qui ne croit point Dieu, le fait menteur, |
puisqu'il n'a pas cru au témoignage |
que Dieu a rendu de son Fils. |
Et voici le témoignage, |
c'est que Dieu nous a donné la vie éternelle; |
et cette vie est dans son Fils. |
Qui a le Fils, a la vie; |
qui n'a point le Fils de Dieu, n'a point la vie. |
Je vous ai écrit ces choses, |
à vous qui croyez au nom du Fils de Dieu, |
afin que vous sachiez que vous avez la vie éternelle, |
et afin que vous croyiez au nom du Fils de Dieu. » |
(La Bible : 1 Jean 5,9-13) |
http://gillovy.sosblog.fr/Le-Salut-divin-b7/Le-temoignage-divin-b7-p48759.htm
le 12/07/08
Pourquoi (pour quoi) prierais-je ?
Pourquoi (pour quoi) prierais-je ?
Entendre parler d'efficacité de la prière sonne à mes oreilles comme une conception pragmatique du genre: Pourquoi je prie Dieu? Parce que ça marche! Une telle façon de considérer les choses ne me sied guère। Voici donc ce que j'ai envie de partager sur la nécessité (au sens de besoin impérieux) de la prière.
La prière est une conversation de l'âme avec son Rédempteur, une relation d'amour basée sur L'Amour premier que Dieu a eu pour nous. Je ne prie pas pour obtenir...quoique j'obtienne et même par surcroit;Je ne prie pas par calcul, ou pour négocier avec Dieu, je ne suis pas un marchand et il n'est pas un distributeur automatique;Je ne prie pas pour augmenter en sainteté, être plus rempli de l'Esprit ou recevoir davantage de dons et de puissance, car l'important, ce n'est pas moi;Je ne prie pas par peur qu'en ne le faisant Dieu oublie de me bénir, ou que le malheur ne me frappe, car ce genre de crainte n'est pas de la foi;Je ne prie pas pour être bien considéré, me faire voir, car ces prières là ne montent pas plus haut que le plafond de la pièce où elles sont proférées...
Si je prie, c'est parce que j'aime Dieu et que je suis dans la même disposition d'esprit que le publicain au Temple qui se frappait la poitrine en avouant sa culpabilité.Si je prie, c'est parce que je suis comme un enfant devant son père, qui sait qu'il peut lui confier ses pensées les plus précieuses. C'est parce qu'en Jésus, j'ai le plus grand des Avocats et qu'il saura accueillir mes instances. Et surtout, si je prie, c'est parce que la Grâce imméritée de Dieu m'a sorti de la boue du péché me remplissant de reconnaissance envers mon Sauveur, Christ.
Il y a des jours où l'on est prolixe, d'autres où le coeur débordant fait jaillir des flots de louanges...Tous les jours ne se ressemblent pas, comme dans une relation humaine. Mais par dessus tout, ce qui est essentiel, c'est la sincérité. Quand je ne sais pas prier, l'Esprit intercède pour moi en des soupirs inexprimables.Pardon Seigneur pour mes hauts et mes bas...et surtout pour mes bas. Détourne-moi de tout ce qui me détourne de tes divins rendez-vous!
le 07/06/08 à 10h55
En quoi Jésus se différencie-t-il des autres "fondateurs de religion" ?
En quoi Jésus se différencie-t-il des autres "fondateurs de religion" ?
Jésus-Christ n'est pas venu apporter une nouvelle religion, il y en avait déjà assez... C'est le Fils de Dieu venu lui-même nous révéler le Père. Voici ce que dit la Bible par la bouche d'un de ses Apôtres :
"La Loi a été donnée par Moïse; la Grâce et la Vérité sont venues par Jésus-Christ. Personne ne vit jamais Dieu; le Fils unique, qui est dans le sein du Père, est celui qui nous l'a fait connaître." (Jean 1,18-19)
Jésus lui-même s'est présenté: "Je suis le chemin, la vérité et la Vie, celui qui croit en moi ne marchera pas dans les ténèbres."
Il n'a pas fait que des déclarations, il n’a pas seulement dit de belles paroles, mais il a agi en grâce, par son pouvoir. Il a guéri des malades, des infirmes et pour finir il a donné sa vie sur la Croix pour notre rançon! Bien plus, il a vaincu le Diable, l'Enfer et la Mort, car il est ressuscité ! Plus de 500 personnes en ont été des témoins oculaires à cette époque (en live comme on dit). Aujourd’hui encore nous pouvons vivre de la puissance de cette résurrection et affirmer la victoire de Jésus-Christ sur les desseins funestes de Satan, l’ennemi de Dieu et du genre humain.
Pouvez-vous trouver quelqu'un d'autre qui aurait fait la même chose?... Ni Bouddha, ni Confucius, ni le Pape, ni Mahomet, ni personne d'autre! Des millions de personnes de par le monde peuvent témoigner avec moi que d'avoir rencontré le Christ a transformé merveilleusement leur vie. Non seulement, cela a donné un sens à notre vie, mais en plus nous avons pu expérimenter la réalité des promesses divines. Si quelqu'un désire connaître qui est Dieu et recevoir le pardon de ses péchés, qu'il ne compte sur aucune religion pour cela. Il ne s'obtient que par la foi au Christ: :
"Si tu confesses le Seigneur Jésus de ta bouche, et que tu croies dans ton coeur que Dieu l'a ressuscité des morts, tu seras sauvé."(Romains 10,9)
La foi, l'espérance et l'amour, voilà ce qui caractérise les vrais chrétiens; c'est pourquoi ils désirent partager cette Bonne Nouvelle avec le plus grand nombre, avec vous qui lisez ces lignes. Si vous sentez en vous un désir d’en savoir d’avantage, un appel à aller plus loin, alors lisez la Bible et découvrez le merveilleux message divin !
DOCUMENTATION SUR LA BIBLE: suivez ce lien
15:12:05 . 29 Mai 2008
de gillovy
http://gillovy.sosblog.fr/Le-Salut-divin-b7/En-quoi-Jesus-se-differencie-t-il-des-autres-fondateurs-de-religion-b7-p2.htm
- le 06/06/08 à 10h06
La théorie de l'évolution, une machination? -
Commençons par définir ce dont nous parlons. La théorie de l'évolution est une vision du monde visant à unifier le champ de la connaissance au sein d'une théorie générale globale sur la formation de la terre et le développement du vivant .
Les bases philosophiques de l'évolutionnisme sont le rejet de la Révélation générale de Dieu dans ses œuvres créées (le témoignage du Livre de la nature) et de la Révélation spéciale des Écritures le Livre de Dieu). La pensée évolutionniste aboutit logiquement à la négation de Dieu, et donc de l'homme, ravalé au statut d'animal!
La science moderne, dont les évolutionnistes se réclament, prétend ne pas pouvoir admettre de données relevant de la foi ou d'une croyance quelconque. Or croire, n'est pas forcément un acte de nature métaphysique. Car, en effet, nous plaçons tous notre confiance en quelque chose ou quelqu'un, c'est humain. Et en ce sens, la doctrine évolutionniste provient aussi d'une démarche de foi: la confiance dans le mode de pensée rationaliste qui serait le seul à même, selon eux, de mener à une démarche cognitive authentique. Par conséquent, on peut affirmer que si le Chrétien biblique a des pré requis de foi, il en est de même des évolutionnistes. La différence, et elle est de taille, c'est que le croyant part du principe de la vérité transcendante de la Révélation divine, tandis que l'incrédule préfère placer sa confiance en la raison autonome, c'est-à-dire en lui-même.
La théorie évolutionniste guide et influence la recherche scientifique:
- Elle valide les directions de recherche, et invalide celles qui, sur la formation de la terre et sur le vivant, ne vont pas dans son sens;
- Elle valide les résultats attendus et infirme les autres, prétendant être non représentatifs, ou des exceptions à la règle (qu'ils on autoproclamée);
- Elle disqualifie et exclue les chercheurs n'étant pas animés de cette même vision;
- Elle monopolise le financement, les crédits de recherche provenant des états.
Quand on définit les tenants et les aboutissants d'une recherche, il ne faut pas s'étonner que celle-ci confirme ce que l'on attendait d'elle. Ainsi, les faits soi-disant démontrés et récentes découvertes (sic) ne sont que des fruits pourris de cette démarche biaisée qui se proclame scientifique, et ne l'est pas du tout. Nous sommes face à une machine à fabriquer du faux à partir du faux, et qui prétend conférer la réalité à ce qui ne l'est pas et ne l'a jamais été.
de gillovy
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http://gillovy.sosblog.fr/Des-questions-b9/La-theorie-de-l-evolution-une-machination-b9-p45604.htm
le 08/06/08 à 10h15
Non-conformiste transformé
Martin Luther KING
Ne vous conformez pas au siècle présent, mais soyez transformés par le renouvellement de l’intelligence, afin que vous discerniez quelle est la volonté de Dieu, ce qui est bon, agréable et parfait. (Romains 12.2)
« Ne vous conformez pas... », est un conseil difficile en une génération où les pressions de masse ont inconsciemment conditionné nos esprits et nos pieds à se mouvoir aux battements rythmiques du statu quo. Beaucoup de voix et de force nous poussent à choisir le sentier de la moindre résistance ; elles nous commandent de ne jamais lutter pour une cause impopulaire et de ne jamais nous trouver dans une minorité pathétique de deux ou trois...
En dépit de cette tendance prédominante au conformisme, nous, chrétiens, avons pour mission d’être non-conformistes. L’apôtre Paul, qui connaissait les réalités intérieures de la foi chrétienne, a donné ce conseil « Ne vous conformez pas au siècle présent, mais soyez transformés par le renouvellement de l’intelligence... » Nous sommes appelés à être des hommes de conviction, non de conformisme ; de noblesse morale, non de respectabilité sociale. Nous avons reçu ordre de vivre différemment et selon une fidélité plus haute.
Cet ordre de ne pas nous conformer à ce monde ne vient pas seulement de Paul, mais aussi de notre Seigneur et Maître, Jésus-Christ, le non-conformiste le plus engagé du monde, dont le non-conformisme moral lance encore son défi à la conscience de l’humanité.
Si nous refusons de souffrir pour la justice et choisissons de suivre le chemin du confort plutôt que de la conviction nous entendons Jésus dire : « Heureux ceux. qui sont persécutés pour la justice car le royaume des cieux est à eux. »
En tous temps et en tous lieux, la morale d’amour de Jésus est une lumière rayonnante qui révèle la laideur de notre conformisme sans élan.
Malgré cet appel impératif à vivre différemment, nous avons cultivé un esprit de masse et nous avons évolué de cet extrême qu’est l’individualisme farouche vers cet extrême plus grand encore qu’est le collectivisme farouche. La plupart des hommes, et des chrétiens en particulier, sont des thermomètres qui indiquent ou enregistrent la température de l’opinion majoritaire, et non des thermostats qui transforment et règlent la température de la société.
Beaucoup de gens n’ont pas de peur plus terrible que de prendre une position qui s’écarte nettement et clairement de l’opinion courante. La tendance du grand nombre est d’adopter un point de vue assez ambigu pour tout inclure et assez populaire pour inclure tout le monde.
Nous les prédicateurs, nous avons aussi été tentés par le culte séduisant du conformisme. Séduits par les symboles du succès selon le monde, nous avons mesuré nos réalisations à la taille de notre personnage. Nous sommes devenus des show men pour plaire aux fantaisies et aux caprices de la foule. Nous prononçons des sermons rassurants ; nous évitons de dire du haut de nos chaires tout ce qui pourrait troubler les vues respectables des membres confortables de nos communautés.
Ministres de Jésus-Christ, avons-nous sacrifié la vérité sur l’autel de l’intérêt personnel et, comme Pilate, aligné nos convictions sur les demandes de la foule?
Il nous faut retrouver la flamme évangélique des premiers chrétiens, qui
furent non-conformistes au sens le plus vrai du mot et refusèrent de régler leur témoignage sur les perspectives du monde.
En lui-même pourtant le non-conformisme n’est pas nécessairement bon. Dans la dernière moitié du verset, Paul nous présente une formule de non- conformisme constructif: « Soyez transformés par le renouvellement de votre intelligence. » Le non-conformisme est créateur lorsqu’il est contrôlé par une vie transformée ; il est constructif lorsqu’il comporte une nouvelle vision mentale.
Cette expérience dont Jésus parle comme d’une nouvelle naissance, est essentielle si nous devons être des non-conformistes transformés. Ce n’est que par une transformation spirituelle intérieure que nous pouvons obtenir la force de combattre avec rigueur les maux du monde dans un esprit d’humilité et d’amour.
Le non-conformiste transformé ne consent en outre jamais à cette espèce de patience passive qui excuse pour ne rien faire.
Il nous faut aujourd’hui des hommes « mal adaptés » comme Shadrac, Meshac et Abednego qui, lorsqu’ils reçurent du roi Nabuchodonosor l’ordre de se prosterner devant une statue d’or, dirent sans équivoque : « Le Dieu que nous servons est capable de nous délivrer.., mais (même) s’Il ne le fait pas... nous ne servirons pas ton dieu ! »
En ces jours de confusion mondiale, il y a un besoin terrible d’hommes et de femmes qui acceptent de se battre avec courage pour la vérité. Il nous faut choisir. Continuerons-nous à marcher au rythme du conformisme et de la respectabilité? Marcherons-nous seulement à la musique du temps, ou bien, risquant la critique l’insulte, marcherons-nous à la musique salvatrice des âmes, à la musique de l’éternité?
Marcherons-nous à la musique de la Vérité, à la musique de l’Évangile?
Plus que jamais, aujourd’hui, « Ne vous conformez pas au siècle présent, mais soyez transformés par le renouvellement de l’intelligence. »
FIN.
Extrait du livre « La force d’aimer »


